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Anthony Delon : ses fiançailles avec Sveva, ses retrouvailles avec son père

A 55 ans, le fils aîné d’Alain Delon n’a pas perdu son goût pour la vitesse. Désormais, ce ne sont plus des bolides mais son bonheur qu’il mène tambour battant, avec pour copilote l’une des plus belles actrices d’Italie, Sveva Alviti.

Il connaît bien le quartier, il a fixé le rendez-vous aux Deux Magots, brasserie parisienne vedette, moins branchée que le Flore voisin, mais plus calme pour causer. Grand, mince, tee-shirt et baskets blanches, jean et veste noirs, lunettes de soleil, Anthony Delon laisse à l’air libre son visage mangé par une barbe poivre et sel naissante. Il s’en veut d’avoir oublié son masque à la maison. Le teint est hâlé, il revient de Venise. Sa voix sonne comme celle du père, en plus tonique. Il s’installe, commande un café, évoque d’emblée son nouveau défi.

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Anthony s’apprête à relancer une griffe de vêtements pour hommes et femmes conçus avec des matières écoresponsables et du cuir végan. La collection sera fabriquée en Italie, il a engagé deux stylistes. Son téléphone vibre. Sa mère. Elle l’appelle pour commenter le résultat du Grand Prix de formule 1 de Monza, elle lui annonce qu’un Français a gagné. « Ah bon… j’ai raté la saison, je ne regarde plus », glisse-t-il gentiment avant de raccrocher. Il embraye sur sa nouvelle marque dont l’appellation, Anthony Delon Paris, est identique à celle de son premier lancement, en 1985. A l’époque, un soir autour d’un verre, cet amoureux des blousons « flight » siglés Schott se plaint des coutures du sien auprès d’un copain. « Lance ta marque au lieu de critiquer », lui rétorque l’ami. Chose faite, et carton plein.

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La jeunesse de Delon fils a été mouvementée, trouble. Il y a eu les freins de sa moto sectionnés, son associé criblé de balles… Anthony Delon évacue ces péripéties d’un revers de main, un sourire en coin, l’air de dire « oublions le(...)


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