Après les éliminations de Rennes, Nantes et Monaco des barrages de la Ligue Europa jeudi soir, aucun club français n'est qualifié pour les huitièmes de finale de la compétition. Pour retrouver une telle bérézina, il faut remonter à l'édition 2020-2021.

La France conserve pour l'instant sa cinquième place à l'indice UEFA malgré les éliminations de Nantes, Monaco et Rennes de la Ligue Europa. Le printemps pourrait néanmoins tout changer.

C'est un des enjeux majeurs pour le football français cette saison : conserver sa cinquième place à l'indice UEFA et ainsi être certain d'envoyer quatre clubs (dont trois directement en « phase de la Ligue », qui remplacera l'actuelle phase de groupes) dans la nouvelle formule de la Ligue des champions en 2024-2025. Pour cela, les représentants hexagonaux, qui affichaient avant le début des phases à élimination directe un total de 59,497 points (au cumul des cinq dernières saisons), doivent résister au retour de leurs rivaux néerlandais (56,700 points) et portugais (53,716 points).

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Après les matches aller des huitièmes de finale de C1 et les barrages de C3 et C4, le bilan n'est pas extrêmement rassurant, mais les éliminations du PSV Eindhoven et de l'Ajax Amsterdam, ce jeudi soir en Ligue Europa, ont pu provoquer un certain soulagement.

Le PSG et Nice pour repousser les Pays-Bas et le Portugal

Malgré la défaite du PSG face au Bayern la semaine passée, puis les sorties de route de Nantes, Monaco et Rennes, la France (60,331 points) compte toujours 3,031 unités d'avance sur les Pays-Bas (57,300), et 5,615 sur le Portugal (54,716).

Le printemps s'annonce néanmoins brûlant, et pourrait dessiner un avenir différent selon les performances de Paris (C1) et Nice (C4) d'un côté, du trio Benfica (C1) - Porto (C1) - Sporting (C3) et du tandem Feyenoord (C3) - AZ Alkmaar (C4) de l'autre.

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