Les cinq hommes (de l’ombre) du titre du Napoli

Tous les Napolitains l'attendaient, c'est désormais officiel : les Partenopei sont champions d'Italie 33 ans après leur dernier Scudetto. Grâce à Osimhen, Kvara, Anguissa, Lobotka, Min-jae, Di Lorenzo, et Spalletti, mais pas que. Voici les cinq hommes de l'ombre de ce titre.

Cristiano Giuntoli

La définition d’homme de l’ombre. Directeur sportif du Napoli depuis 2015, Cristiano Giuntoli est parvenu à faire de ce Napoli la meilleure équipe de la Botte. Si l’ancien footballeur amateur connaît la lumière à 51 ans, son fantastique travail ne date pas d’hier. Huit années durant lesquelles il est parvenu à transformer ce Napoli et à en faire un véritable concurrent au Scudetto. Maurizio Sarri ? C’est lui. Piotr Zieliński ? Également. Victor Osimhen ? Encore lui. Un acharné de travail qui a dû faire face à un énorme chantier l’été dernier. « On ne veut pas appauvrir l’effectif, mais d’un point de vue budgétaire, nous devons réduire les dépenses excessives. Il ne nous suffira pas de vendre un joueur, il faudra se séparer de tous ceux que nous avons augmentés de façon spectaculaire, ceux que Naples ne peut plus payer », expliquait Giuntoli dans le dernier numéro de So Foot.

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Après avoir connu de belles années avec la fameuse équipe de Dries Mertens, Lorenzo Insigne, Kalidou Koulibaly & Co, le Napoli prépare sa mue et décide de se séparer de ses cadres pour miser sur la jeunesse. C’est là que Giuntoli fait encore parler de son savoir-faire et décide de miser sur des jeunes joueurs à (très) fort potentiel : Raspadori, Min-jae et bien évidemment Kvaratskhelia. Si le premier cité doit se contenter d’un rôle de doublure, nul besoin de vous présenter les deux derniers. Pour pallier les départs des cadres, Cristiano Giuntoli a vu juste : en moins de dix mois, le Géorgien et le Sud-Coréen ont fait oublier Insigne et Koulibaly. Si le mérite revient forcément aux joueurs et à Luciano Spalletti pour cette saison cinq étoiles, Giuntoli méritait tout de même quelques lignes. Mais pour ce dernier, la (fausse) modestie est le mot d’ordre : « Spalletti m’a sans aucun doute rendu meilleur, mais je ne suis pas sûr du contraire. » La classe.…

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