Les fils de Zidane doivent aussi rebondir

Le 27 août 2017, le JDD était venu soutirer à Enzo Zidane ses premiers mots après un baptême en Liga avec Alavés, face au Barça. Depuis ces treize minutes, les occasions de le revoir à un tel niveau ont été rares : seulement cinquante-huit minutes de plus pour l'aîné de la fratrie, même poste de milieu offensif et même taille (1,85 mètre) que le père, qui l'avait lancé avec la réserve du Real. Depuis, l'instabilité prime et la cote baisse.

Transféré début 2018 à Lausanne, Enzo Zidane (25 ans) y aura stationné six mois, conclus par une relégation. En Suisse, où il émargeait selon le tabloïd Blick à 26.000 euros mensuels, on louait sa finesse technique tout en pointant un manque d'impact athlétique qui l'aura fait glisser sur le banc (16 matches, deux buts, une passe).

Une demi-saison, c'est aussi le temps passé à Aves (Portugal), au sortir d'un prêt en D2 espagnole (Rayo Majadahonda, titulaire mais encore relégué), puis à Almería, le dernier point de chute (3 matches). Annoncé au WAC Casablanca, il est pour l'heure sans club. Presque au même moment, son frère cadet Luca a signé au Rayo Vallecano (Liga 2), espérant faire décoller une carrière de gardien esquissée au contact des plus grands.

Les promesses de Théo

Né à Marseille en 1998, il a été convié par Carlo Ancelotti à une première séance en pro au Real dès ses 15 ans. Champion d'Europe U17 avec les Bleuets, il a réellement appris le métier dans le groupe de son père ...


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