Kingsley Coman : "Beaucoup de joie, un peu de tristesse"

Unique buteur de la finale, Kingsley Coman a aussi été élu homme du match. Un titre qui aurait pu revenir à Manuel Neuer, décisif devant Neymar et Kylian Mbappé, et qui a fait basculer la rencontre du bon côté pour le Bayern Munich. "C'est un des plus grands gardiens de l'histoire, le meilleur du monde actuellement, estime Coman. C'est un exemple, un grand pro. Quand tu marques contre lui à l'entraînement, c'est plus facile contre les autres gardiens."

 

Lire aussi - Ligue des champions : encore trop haut pour le PSG !

Dimanche, c'est Keylor Navas qui en a fait les frais sur une tête plongeante de l'ailier français. Un coup de bambou à l'heure de jeu dont le club de la capitale ne s'est jamais remis et qui lui fait d'autant plus mal que Coman a été formé au Camp des Loges. En partant à la Juventus en 2014, il est même devenu le symbole de l'exode des jeunes Parisiens et un cas d'école pour les dirigeants.

Longtemps dans l'ombre de Ribéry et Robben

Dimanche, il a vécu "un des plus beaux jours" de sa vie, une émotion "incroyable", alors qu'il a été préféré à Perisic pour tourmenter Thilo Kehrer, le maillon faible du PSG. "Mais il y a aussi quelque chose d'un peu triste car le PSG a compté pour moi, a-t-il poursuivi. Donc je ressens beaucoup de joie et un peu de tristesse." Arrivé au Bayern en 2015, il a d'abord vécu dans l'ombre de Franck Ribéry et Arjen Robben, les deux monstres qui occupaient les ailes.

Avant de s'émanciper depuis leur départ. "Je n'étais pas dans l'ombre, ce so...


Lire la suite sur LeJDD