Motorisations : quel visage pour la Formule 1 à partir de 2026 ?

Commençons par remonter le temps. En février dernier, surprise lors de la cérémonie de présentation de la Red Bull RB 19 (qui ne l'était pas) : Ford annonçait devenir le partenaire de l’écurie championne du monde à partir de 2026.

Dans le même temps, la FIA confirmait qu’au moment de la nouvelle réglementation des motorisations, baptisée PU2026, la Formule 1 compterait six fournisseurs d’unités de puissance : Red Bull Powertrains (avec Ford, donc), Ferrari, Mercedes AMG HPP, Renault (Alpine), Honda et Audi.

Porsche, dont les discussions avec Red Bull étaient tombées à l’eau en septembre dernier, ne figurait pas dans la liste avant de récemment faire une croix sur ses ambitions de F1 à moyen terme.

Pendant ce temps, Cadillac est en voie de rejoindre la discipline via l’écurie Andretti Autosport, si la candidature de cette dernière est acceptée par les instances dirigeantes. Il semblerait par ailleurs que pas moins de cinq écuries aient manifesté leur intérêt à entrer en F1, selon une nouvelle procédure.

La décision les concernant devrait être annoncée après le 30 juin 2023. Certaines écuries ont commencé par reprocher à Cadillac de vouloir entrer en F1 à moindre coût, en s’assurant l’usage d’un moteur Renault ou Honda qu’ils rebaptiseraient du nom de la marque détenue par General Motors.

C’est pourtant exactement ce que Ford a l’intention de faire...Lire la suite sur Sport Auto