Nicolas Pallois et l'ordre

Il y a eu la découverte du stade de France, cet avant-match toujours spécial, ces 90 minutes de bison, l'explosion sur le but de Ludovic Blas, la fin de rencontre avec une cloison nasale en vrac, la libération à 22h53 et l'apogée d'une carrière, breloque autour du coup en communion avec le peuple jaune et vert. Mais l'image que Nicolas Pallois conservera le plus dans son petit cœur d'artichaut, c'est peut-être cette enceinte dionysienne aux deux tiers nantaise chantant avec émotion à la gloire de son pote Emiliano Sala (à la traditionnelle neuvième minute, mais surtout de nouveau quelques instants après le coup de sifflet final), trois ans et demi après ce que tout le monde sait. C'est sans doute aussi pour lui, intérieurement, que le stoppeur nantais s'était levé ce…

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