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Olivier Giroud : «Dans la vie, il faut savoir être patient et résilient»

Phénix, résilient, inoxydable. On a tout dit, tout écrit sur Olivier Giroud dont les performances lors de ce Mondial, à 36 ans, épatent la planète entière. Lundi, toute la presse italienne, normal il joue au Milan AC, lui tressait de louanges. « Giroud, sur le toit du monde », titrait la «Gazzeta dello Sport», principal, quotidien sportif transalpin, qui voyait aussi en Kylian Mbappé, « un martien dont les deux chefs-d'œuvre sont à exposer au Louvre, même au risque de prendre de la soupe des écologistes.»

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Au sortir du match, un peu frustré de ne pas avoir pu fêter, avec ses potes, dès la sortie du terrain, son record absolu (52 buts marqués en bleu), pour cause de contrôle anti-dopage, le « target man », des Bleus comme il se définit, était tout à sa joie. Dans les tréfonds du Al Thumama Stadium, il avouait, juste après son but, avoir pensé à sa femme et ses enfants et aussi, une certaine forme de libération. « Ça représente énormément de fierté, un honneur. Il y avait beaucoup de personnes qui disaient, “c’est pour aujourd’hui, c’est pour aujourd’hui”. C’est un soulagement. Disons qu’on ne parle plus de ce record, » confessait l’homme aux 117 sélections.

Ce mardi, après une journée de repos méritée, passée en famille avec son épouse Jennifer et ses quatre enfants, Jade et Aria (9 et 2 ans), ainsi qu'Evan et Aaron (6 et 4 ans), au bord de la piscine de l’hôtel cinq étoiles Al Massila, Olivier G...


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