Adrien Rabiot mis a pied par le PSG… Avant un licenciement ?

Déjà évincé depuis plusieurs mois par la direction du Paris Saint-Germain, Adrien Rabiot fait désormais l’objet d’une mise à pied, avant un éventuel licenciement.

La situation ne s’arrange visiblement pas, entre Adrien Rabiot et son club formateur du Paris Saint-Germain.
Évincé depuis plusieurs mois par le club parisien, il n’avait plus retrouvé les terrains depuis qu’Antero Henrique avait expliqué auprès de Yahoo Sport son intention de sanctionner le jeune Français. La raison ? Le n°25 refusait de prolonger son contrat après avoir longtemps fait miroiter son intention de poursuivre l’aventure, s’offrant ainsi la possibilité de quitter la capitale en juin prochain libre de tout engagement.

Soutenu par l’UNFP, devenu l’ennemi numéro 1 des supporters parisiens, et une véritable épine dans le pied de Tuchel qui a poussé sa direction à recruter un milieu de terrain durant l’hiver, Rabiot ne cesse de faire débat. Et il devrait une nouvelle fois faire l’objet de polémiques puisqu’il est désormais mis à pied par sa direction, comme le révèle L’Equipe ce jeudi.
Pour la direction du PSG, sa sortie en boîte de nuit le soir de PSG-Manchester United (publiquement critiquée par le directeur sportif Antero Henrique) et son « like » sur la vidéo d’Evra moquant l’élimination parisienne ont été les coups de trop.

Alors que le quotidien français précise que la mise à pied sera effective jusqu’au 27 mars, RTL précise ce jeudi soir que le milieu de terrain sera convoqué à l’issue de cette sanction au siège du Paris Saint-Germain, pour un entretien pouvant mener à un licenciement.

De son côté, le joueur a pris la parole pour la première fois publiquement, à son entrée au Camp des Loges, au micro d’Infosport Plus, se dédouanant des faits qui lui sont reprochés.

Pour rappel, L’Equipe précise également que le joueur avait été également déjà privé de sa prime d’éthique sur plusieurs mois en raison d’un retard à une causerie lors du déplacement à Marseille, le 28 décembre 2018, et pour son absence au stage organisé à Doha, en janvier dernier.