Roland-Garros: Taylor Fritz a continué de chambrer le public français sur les réseaux sociaux

Roland-Garros: Taylor Fritz a continué de chambrer le public français sur les réseaux sociaux

Le public de Roland-Garros s’est peut-être trouvé un nouveau "meilleur ami". C’est évidemment ironique et cela concerne Taylor Fritz, tombeur du dernier représentant français Arthur Rinderknech (2-6, 6-4, 6-3, 6-4), jeudi dans une ambiance survoltée. La victoire de l’Américain a été accompagnée dans le chahut et les sifflets des supporters français, très amers du scénario du match.

Le 8e joueur mondial a laissé exprimer sa rage après avoir remporté la rencontre en portant son index sur la bouche pour inviter le public à se taire. Ce qui a eu l’effet inverse puisqu’une bordée des sifflets est descendue des tribunes pendant de longues minutes, empêchant même Taylor Fritz de répondre, pendant quelques instants, aux questions de Marion Bartoli sur le court. Il a même adressé une pique ironique au public. "La foule était tellement géniale que j'ai dû la laisser m'enflammer, a-t-il lancé. Ils m'ont si bien applaudi, je devais m'assurer que je gagnais."

Sa petite-amie a aussi chambré

Et le chambrage ne s’est pas arrêté là puisque l’Américain en a remis une couche sur les résaux sociaux en publiant simplement un emoji index sur la bouche. Sa petite amie, Morgan Riddle, influenceuse américaine, a aussi partagé une story Instagram sur laquelle elle filme Taylor Fritz en train de poser… décidément son doigt sur la bouche, avec la légende: "mon homme".

Fritz a aussi démenti avoir abrégé l’interview avec Marion Bartoli sur le court, en assurant avoir ensuite pris le temps de répondre aux sollicitations des enfants en bas des tribunes. "Elle m’a dit qu’elle ne poserait qu’une question avant qu’on ne commence, je suis resté et j’ai signé pour tous les enfants sur le chemin de la sortie." Au prochain tur, Taylor Friotz affrontera l’Argentin Francisco Cerundolo et le public français, s’il est rancunier, ne devrait pas lui faire de cadeau.

Article original publié sur RMC Sport