Le Tour des Flandres, plus qu'une course, un fleuron touristique flamand
HawaĂŻ a le surf, lâAutriche a le ski, Liverpool a le football, et Los Angeles a le cinĂ©ma. Tout autour du monde, des villes - parfois des pays - sâappuient sur une industrie culturelle prĂ©cise pour attirer les curieux et faire tourner lâĂ©conomie locale. En Belgique, il y a bien sĂ»r les villes dâart flamandes comme Bruges, Anvers ou Gand, les musĂ©es, les festivals de musique, le chocolat ou la biĂšre, mais il y aussi - et surtout - la petite Reine. Pas celle qui vit au palais royal de Bruxelles, non, on parle bien de vĂ©lo et de lâune des plus grandes courses cyclistes : le Tour des Flandres. FondĂ©e en 1913, cette course dâun jour escaladant les monts pavĂ©s est devenue tellement mythique en 104 Ă©ditions quâelle fait aujourdâhui vivre le tourisme dans la rĂ©gion.
Une fĂȘte nationale officieuse
Ă chaque dĂ©but de printemps, câest la mĂȘme rengaine : la Belgique sâenflamme pour sa semaine sainte. "Ce sont les Italiens qui lâappellent ainsi, elle dĂ©signe la pĂ©riode entre le Tour des Flandres et Paris-Roubaix, avec Gand-Wevelgem en amont, le prix de lâEscaut. Câest comme une fĂȘte nationale des Flandres sur plusieurs jours", pose Laurent Stragier, guide confĂ©rencier belge,...
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