Le Tour des Flandres, plus qu'une course, un fleuron touristique flamand

Adrien Hemard
·1 min de lecture

HawaĂŻ a le surf, l’Autriche a le ski, Liverpool a le football, et Los Angeles a le cinĂ©ma. Tout autour du monde, des villes - parfois des pays - s’appuient sur une industrie culturelle prĂ©cise pour attirer les curieux et faire tourner l’économie locale. En Belgique, il y a bien sĂ»r les villes d’art flamandes comme Bruges, Anvers ou Gand, les musĂ©es, les festivals de musique, le chocolat ou la biĂšre, mais il y aussi - et surtout - la petite Reine. Pas celle qui vit au palais royal de Bruxelles, non, on parle bien de vĂ©lo et de l’une des plus grandes courses cyclistes : le Tour des Flandres. FondĂ©e en 1913, cette course d’un jour escaladant les monts pavĂ©s est devenue tellement mythique en 104 Ă©ditions qu’elle fait aujourd’hui vivre le tourisme dans la rĂ©gion.

Une fĂȘte nationale officieuse

À chaque dĂ©but de printemps, c’est la mĂȘme rengaine : la Belgique s’enflamme pour sa semaine sainte. "Ce sont les Italiens qui l’appellent ainsi, elle dĂ©signe la pĂ©riode entre le Tour des Flandres et Paris-Roubaix, avec Gand-Wevelgem en amont, le prix de l’Escaut. C’est comme une fĂȘte nationale des Flandres sur plusieurs jours", pose Laurent Stragier, guide confĂ©rencier belge,...

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