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Classement FIFA : le top 10 des nations qui dominent le foot mondial

  • <p>Le temps où la bande à Iniesta marchait sur le football mondial est bel et bien révolu. Désormais, la Roja occupe la dixième place du classement FIFA, un classement qu’elle a pourtant dominé jusqu’en juin 2015. Nos amis espagnols peuvent toujours demander l’arbitrage vidéo en cas de litige…</p>
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    10. L’Espagne, reine déchue

    Le temps où la bande à Iniesta marchait sur le football mondial est bel et bien révolu. Désormais, la Roja occupe la dixième place du classement FIFA, un classement qu’elle a pourtant dominé jusqu’en juin 2015. Nos amis espagnols peuvent toujours demander l’arbitrage vidéo en cas de litige…

  • <p>La formation helvète fait pour la première fois son entrée dans le top 10 du classement FIFA. Les joueurs de Vladimir Petkovic ont ravi la 9è place à l’Uruguay, ce qui risque fort de mettre en rogne Luis Suarez. Attention, cet homme-là a la dent dure.</p>
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    9. La Suisse : Shaqiri, Suarez qui pleure

    La formation helvète fait pour la première fois son entrée dans le top 10 du classement FIFA. Les joueurs de Vladimir Petkovic ont ravi la 9è place à l’Uruguay, ce qui risque fort de mettre en rogne Luis Suarez. Attention, cet homme-là a la dent dure.

  • <p>En football, tout va toujours très vite, et monter sur le toit du Vieux Continent en juillet ne suffit pas toujours à se hisser sur celui du monde huit mois plus tard. Une douloureuse vérité qui risque de donner des aigreurs d’estomac à CR7, déjà passablement contrarié par les rumeurs de transfert qui envoient Griezmann et Hazard du côté de Bernabeu cet été.</p>
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    8. Le Portugal, champion déçu

    En football, tout va toujours très vite, et monter sur le toit du Vieux Continent en juillet ne suffit pas toujours à se hisser sur celui du monde huit mois plus tard. Une douloureuse vérité qui risque de donner des aigreurs d’estomac à CR7, déjà passablement contrarié par les rumeurs de transfert qui envoient Griezmann et Hazard du côté de Bernabeu cet été.

  • <p>Un jour, c’est sûr, la Belgique et sa génération dorée brilleront au firmament du foot mondial. En attendant, les Diables Rouges regardent les finales des grandes compétitions internationales à la télé et perdent deux places au classement FIFA. Promis, en Russie, Hazard et les siens claqueront des buts et fermeront des bouches.</p>
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    7. La Belgique sort du club des 5

    Un jour, c’est sûr, la Belgique et sa génération dorée brilleront au firmament du foot mondial. En attendant, les Diables Rouges regardent les finales des grandes compétitions internationales à la télé et perdent deux places au classement FIFA. Promis, en Russie, Hazard et les siens claqueront des buts et fermeront des bouches.

  • <p>Si seulement, en juillet dernier, Dédé Gignac avait un peu plus ouvert son pied. Si seulement Hugo avait fait preuve d’un poil plus de réactivité. Si seulement ce foutu papillon ne s’était pas posé en slow motion sur la paupière de CR7… Avec des « si », la France danserait sur le toit de l’Europe et sur les abdominaux de Ronaldo. Mais que voulez-vous, il n’y a pas de justice en ce bas monde, et surtout pas dans celui du football. Reste qu’aujourd’hui au classement FIFA, nos Bleus toisent les Lusitaniens, du haut de leur 6è place au classement FIFA, qu’ils semblent ne plus vouloir quitter. On se rassure comme on peut, hein.</p>
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    6. La France à l’équilibre

    Si seulement, en juillet dernier, Dédé Gignac avait un peu plus ouvert son pied. Si seulement Hugo avait fait preuve d’un poil plus de réactivité. Si seulement ce foutu papillon ne s’était pas posé en slow motion sur la paupière de CR7… Avec des « si », la France danserait sur le toit de l’Europe et sur les abdominaux de Ronaldo. Mais que voulez-vous, il n’y a pas de justice en ce bas monde, et surtout pas dans celui du football. Reste qu’aujourd’hui au classement FIFA, nos Bleus toisent les Lusitaniens, du haut de leur 6è place au classement FIFA, qu’ils semblent ne plus vouloir quitter. On se rassure comme on peut, hein.

  • <p>Certes, le temps où les Cafeteros dézinguaient l’Argentine 5-0 à grands coups de toque est loin désormais. Reste que ces dernières années, la bande à Falcao offre un profil séduisant et ne fait pas de figuration en compétition internationale, comme l’atteste sa demi-finale (perdue) en Copa America l’an dernier. Bien embarquée pour se qualifier pour le Mondial de Poutine en 2018, elle occupe très logiquement la 5è place du classement. La Colombie, une sélection qui sait faire parler la poudre.</p>
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    5. La Colombie, à fond de 5è

    Certes, le temps où les Cafeteros dézinguaient l’Argentine 5-0 à grands coups de toque est loin désormais. Reste que ces dernières années, la bande à Falcao offre un profil séduisant et ne fait pas de figuration en compétition internationale, comme l’atteste sa demi-finale (perdue) en Copa America l’an dernier. Bien embarquée pour se qualifier pour le Mondial de Poutine en 2018, elle occupe très logiquement la 5è place du classement. La Colombie, une sélection qui sait faire parler la poudre.

  • <p>Pour qui s’intéresse au football sud-américain, retrouver la Roja de Todos en aussi haute altitude n’a rien d’incongru. Le double vainqueur de la Copa America, nourri au bon grain des préceptes de Marcelo Bielsa, mange également du ténor d’Am-Sud au petit-déjeuner depuis quelques années. Résultat : une quatrième place bien méritée au classement FIFA.</p>
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    4. Le Chili dans le Big Four

    Pour qui s’intéresse au football sud-américain, retrouver la Roja de Todos en aussi haute altitude n’a rien d’incongru. Le double vainqueur de la Copa America, nourri au bon grain des préceptes de Marcelo Bielsa, mange également du ténor d’Am-Sud au petit-déjeuner depuis quelques années. Résultat : une quatrième place bien méritée au classement FIFA.

  • <p>Les champions du monde en titre, demi-finalistes malheureux de l’Euro – mais que pouvaient-ils faire face au talent débridé de nos Bleus en transe ? – occupent fort logiquement la troisième place du classement FIFA. Nos amis teutons sauvent ainsi l’honneur européen, quatre des cinq premières places dudit classement étant trustées par des équipes sud-américaines.</p>
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    3. L’Allemagne sur le podium

    Les champions du monde en titre, demi-finalistes malheureux de l’Euro – mais que pouvaient-ils faire face au talent débridé de nos Bleus en transe ? – occupent fort logiquement la troisième place du classement FIFA. Nos amis teutons sauvent ainsi l’honneur européen, quatre des cinq premières places dudit classement étant trustées par des équipes sud-américaines.

  • <p>Pour Leo, cela commence à devenir une fâcheuse habitude. Deuxième de la Coupe du Monde 2014, deux fois deuxième de la Copa America, deuxième au classement du Ballon d’or… Et voilà que la Pulga enfile une énième fois le costume de n°2 du foot mondial. A ce rythme-là, le génie argentin va prendre sa retraite internationale avant le Mondial russe. A moins qu’il reste. A moins qu’il parte. A moins qu’il…</p>
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    2. L’Argentine en mode Poulidor

    Pour Leo, cela commence à devenir une fâcheuse habitude. Deuxième de la Coupe du Monde 2014, deux fois deuxième de la Copa America, deuxième au classement du Ballon d’or… Et voilà que la Pulga enfile une énième fois le costume de n°2 du foot mondial. A ce rythme-là, le génie argentin va prendre sa retraite internationale avant le Mondial russe. A moins qu’il reste. A moins qu’il parte. A moins qu’il…

  • <p>Nous avons tous en mémoire les larmes de Thiago Silva, versées au terme d’une demi-finale cauchemardesque en 2014, au cours de laquelle onze chevaliers teutoniques ont consciencieusement martyrisé un pays tout entier. Depuis, le temps a passé. Si le défenseur central auriverde n’a pas perdu cette manie lacrymale – #Camp Nou – la Seleçao a manifestement survécu au traumatisme du Maracana. Preuve de ce retour en force : le Brésil occupe désormais la première place du classement FIFA, une première depuis sept ans. Si la bande à Silva a pu se relever, le PSG a des raisons d’espérer.</p>
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    1. Le Brésil joga (enfin) bonito

    Nous avons tous en mémoire les larmes de Thiago Silva, versées au terme d’une demi-finale cauchemardesque en 2014, au cours de laquelle onze chevaliers teutoniques ont consciencieusement martyrisé un pays tout entier. Depuis, le temps a passé. Si le défenseur central auriverde n’a pas perdu cette manie lacrymale – #Camp Nou – la Seleçao a manifestement survécu au traumatisme du Maracana. Preuve de ce retour en force : le Brésil occupe désormais la première place du classement FIFA, une première depuis sept ans. Si la bande à Silva a pu se relever, le PSG a des raisons d’espérer.

<p>Le temps où la bande à Iniesta marchait sur le football mondial est bel et bien révolu. Désormais, la Roja occupe la dixième place du classement FIFA, un classement qu’elle a pourtant dominé jusqu’en juin 2015. Nos amis espagnols peuvent toujours demander l’arbitrage vidéo en cas de litige…</p>
<p>La formation helvète fait pour la première fois son entrée dans le top 10 du classement FIFA. Les joueurs de Vladimir Petkovic ont ravi la 9è place à l’Uruguay, ce qui risque fort de mettre en rogne Luis Suarez. Attention, cet homme-là a la dent dure.</p>
<p>En football, tout va toujours très vite, et monter sur le toit du Vieux Continent en juillet ne suffit pas toujours à se hisser sur celui du monde huit mois plus tard. Une douloureuse vérité qui risque de donner des aigreurs d’estomac à CR7, déjà passablement contrarié par les rumeurs de transfert qui envoient Griezmann et Hazard du côté de Bernabeu cet été.</p>
<p>Un jour, c’est sûr, la Belgique et sa génération dorée brilleront au firmament du foot mondial. En attendant, les Diables Rouges regardent les finales des grandes compétitions internationales à la télé et perdent deux places au classement FIFA. Promis, en Russie, Hazard et les siens claqueront des buts et fermeront des bouches.</p>
<p>Si seulement, en juillet dernier, Dédé Gignac avait un peu plus ouvert son pied. Si seulement Hugo avait fait preuve d’un poil plus de réactivité. Si seulement ce foutu papillon ne s’était pas posé en slow motion sur la paupière de CR7… Avec des « si », la France danserait sur le toit de l’Europe et sur les abdominaux de Ronaldo. Mais que voulez-vous, il n’y a pas de justice en ce bas monde, et surtout pas dans celui du football. Reste qu’aujourd’hui au classement FIFA, nos Bleus toisent les Lusitaniens, du haut de leur 6è place au classement FIFA, qu’ils semblent ne plus vouloir quitter. On se rassure comme on peut, hein.</p>
<p>Certes, le temps où les Cafeteros dézinguaient l’Argentine 5-0 à grands coups de toque est loin désormais. Reste que ces dernières années, la bande à Falcao offre un profil séduisant et ne fait pas de figuration en compétition internationale, comme l’atteste sa demi-finale (perdue) en Copa America l’an dernier. Bien embarquée pour se qualifier pour le Mondial de Poutine en 2018, elle occupe très logiquement la 5è place du classement. La Colombie, une sélection qui sait faire parler la poudre.</p>
<p>Pour qui s’intéresse au football sud-américain, retrouver la Roja de Todos en aussi haute altitude n’a rien d’incongru. Le double vainqueur de la Copa America, nourri au bon grain des préceptes de Marcelo Bielsa, mange également du ténor d’Am-Sud au petit-déjeuner depuis quelques années. Résultat : une quatrième place bien méritée au classement FIFA.</p>
<p>Les champions du monde en titre, demi-finalistes malheureux de l’Euro – mais que pouvaient-ils faire face au talent débridé de nos Bleus en transe ? – occupent fort logiquement la troisième place du classement FIFA. Nos amis teutons sauvent ainsi l’honneur européen, quatre des cinq premières places dudit classement étant trustées par des équipes sud-américaines.</p>
<p>Pour Leo, cela commence à devenir une fâcheuse habitude. Deuxième de la Coupe du Monde 2014, deux fois deuxième de la Copa America, deuxième au classement du Ballon d’or… Et voilà que la Pulga enfile une énième fois le costume de n°2 du foot mondial. A ce rythme-là, le génie argentin va prendre sa retraite internationale avant le Mondial russe. A moins qu’il reste. A moins qu’il parte. A moins qu’il…</p>
<p>Nous avons tous en mémoire les larmes de Thiago Silva, versées au terme d’une demi-finale cauchemardesque en 2014, au cours de laquelle onze chevaliers teutoniques ont consciencieusement martyrisé un pays tout entier. Depuis, le temps a passé. Si le défenseur central auriverde n’a pas perdu cette manie lacrymale – #Camp Nou – la Seleçao a manifestement survécu au traumatisme du Maracana. Preuve de ce retour en force : le Brésil occupe désormais la première place du classement FIFA, une première depuis sept ans. Si la bande à Silva a pu se relever, le PSG a des raisons d’espérer.</p>
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Dans le sillage des matchs de qualification à la Coupe du Monde, la FIFA a actualisé son classement, au terme d’une séance d’arithmétique footballistique dont seule la fédération internationale a le secret. Quelles sont donc les nations qui se distinguent dans le concert mondial de la gonfle ? Suivez le guide…