Quand le naming va (beaucoup) trop loin en 14 leçons
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Le plus pantouflard : la Ligue 1
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Le plus mégalo : Montpellier Hérault Rugby Club
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Le plus rasoir : le stade de Foxborough
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Le plus crève-cœur : Bercy
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Le plus raccourci : le stade de Dallas
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La plus exotique : le centre d’entraînement du PSG
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Le plus low cost : la première division de handball
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Le plus convivial : la Ligue 2
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Le plus “lèse-majesté” : le Stade Vélodrome
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Le plus “Gutenberg” : la Ligue Magnus
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Le plus alcoolisé : la Coupe d’Europe de rugby
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Le plus “double jeu” : le tournoi WTA de Québec
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Le plus électoral : le stade de Bolton
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Le plus "publicité mensongère" : le Parc OL
La pratique est devenue courante : associer le nom d’une enceinte sportive ou d’une compétition est devenu une belle source de revenus pour les organisateurs et les clubs sportifs. Les exemples se sont multipliés depuis le milieu des années 2000. Certaines associations fonctionnent plutôt correctement : on pense au Kindarena de Rouen, au Staples Center de Los Angeles ou encore l’Allianz Riviera de Nice, qui nous donnent des noms plutôt harmonieux. Pour d’autres en revanche, c’est plus compliqué. Retrouvez ces fausses bonnes idées qui ont nourri la colère ou le rire (voire les deux à la fois) des fans de sport.