Marine Le Pen : une femme sous influence russe ?

Interrogée par la commission d’enquête parlementaire ce mercredi 23 mai sur les ingérences étrangères avec un prêt de 9.4 millions d’euros contracté en 2014 auprès d’une banque tchéco-russe, Marine Le Pen se défend et nie toute compensation politique à l’égard de Vladimir Poutine. Selon Bruno Cautrès, politologue, chercheur au CEVIPOF, invité de France 24, "c’est un dossier qui est difficile et compliqué pour le Rassemblement national et pour Marine Le Pen." Explications.


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